JUSTE POUR LE PLAISIR DES YEUX ET DES REVES PLEINS LA TETE ...

Jusqu'à la découverte de l'épigénétique, on croyait que le noyau d'une cellule, contenant l'ADN, était le "cerveau" de la cellule même, absolument nécessaire à son fonctionnement.

De fait, comme l'on découvert Bruce Lipton (biologiste cellulaire) et d'autres scientifiques, les cellules peuvent vivre et très bien fonctionner même après que leur noyau ait été retranché.

Le vrai "cerveau" de la cellule est sa membrane, qui réagit et répond aux influences externes, en s'adaptant dynamiquement à un environnement en changement perpétuel.

Qu'est ce que cela signifie pour nous, en tant qu'assemblage de cellules appelés "être humain" ? Au fur et à mesure que nous croisons les différentes influences environnementales, c'est nous qui suggérons à nos gènes quoi faire, inconsciemment d'habitude. Ce que nous voulons être, si nous y croyons, nous le serons.

Belle demoiselle un peu ronde
Tu n’as pas à te cacher
Ce sont les regards lâches qui sont immondes

Pour votre plus grand plaisir ...

http://lereveurzen.canalblog.com/

Bonne visite

J'écoute et observe mon ressenti
J'apprends à écouter avec détachement
Je deviens conscient de ce que je nourris

Je peux dès lors laisser aller et choisir de me transformer
Je suis

Comment dissoudre une « Peur » ?

Si tu as une « peur » ou une inquiétude importante et que tu ne sais pas encore totalement d'où provient cette peur... alors je te propose de t’asseoir, de fermer les yeux et d’apprendre à observer la peur.

Apprends à l’apprivoiser en te laissant envahir tout doucement par elle …accueille-la totalement… sans jugement.

Place-toi simplement en observateur témoin, un témoin qui observe simplement une sensation... sans surtout chercher à l'analyser …. Laisse le mental au repos et ressens…

Prends conscience que cette peur n'est pas toi mais que c'est toi qui l’a créée et continu de l’alimenter par ton ressenti…

Que ressens-tu face à cette peur ?
Quelles images viennent à ton Esprit ?
Que ressens-tu dans ton corps ?
Observe simplement ?

Sois simplement conscient que c'est ta création… elle est liée à des mémoires du passé ...lequel vit encore en toi dans le moment présent ... c'est pour cela que tu dois devenir conscient de ces peurs et de les laisser aller.

Détache-toi d'elle et observe-la comme si c'était une forme extérieure à toi maintenant, envois-lui tout ton amour et permets-lui de s’éloigner doucement…. jusqu’à ce qu'elle ce soit dissoute…

Tant que tu nourriras cette peur, tu lui insuffles de l'énergie et lui permet d'exister. Tu es le créateur de cette perception que tu nommes "peur", étant le créateur tu peux cesser de la créer à tout instant.

Une pensée juste et un outil de libération concrêt

Merci à Agnès♥
Amour et Conscience

Pour certains, l'idée même de vivre loin de l'être-aimé est inenvisageable. Leur credo : « Loin des yeux, loin du cœur ». Comment peut-on aimer quelqu'un qui vit à des km, que l'on ne voit que quelques jours par mois? Comment est-ce possible de construire une histoire durable ? L'absence est difficile à supporter.

C'est ce que constate Paul, 32 ans : « Je ne crois pas à l'amour à distance. Je l'ai pratiqué et cela a abouti à un échec. Je ne dis pas que c'est impossible. Ca dépend de la durée de la séparation. Mais le couple doit être très très solide et sûr de ce qu'il veut ». Pour eux, distance est synonyme d'absence. Et si après une dure journée de travail, vous n'avez qu'une seule envie, vous blottir dans les bras de votre partenaire, vous n'aurez qu'une solution : vous rabattre sur votre téléphone !

Pour d'autres, les relations à distance peuvent fonctionner et ne sont pas un frein à une histoire d'amour. Au contraire, elles peuvent la renforcer, la rendre plus solide. Le mot d'ordre à une relation à distance : la confiance ! Ce n'est pas la peine d'envisager ce genre de relations si l'on est pas capable d'avoir confiance en l'autre .... et d'être patient !

Aujourd'hui, on compte pas moins de 16 millions de célibataires en France. Tandis que certains le sont par choix, d'autres sont en quête de l'amour et ils mettent pour cela toutes les chances de leur côté.

La rencontre "à l'ancienne"
Certains de ces célibataires sont restés classiques. Ce sont en général les plus âgés d'entre eux, même si de nombreux jeunes sont attachés à la rencontre impromptue. Ils vont dans les bars, sortent en boîte afin de multiplier les rencontres. Ils se disent que, peut-être, leur âme soeur se retrouvera dans le même lieu. D'autres, cependant, ne cherchent pas vraiment. Ils se disent qu'ils rencontreront l'amour au coin d'une rue ou dans le cadre de leur travail. Tandis que ces hommes et ces femmes cherchent à vivre un vrai coup de foudre, d'autres ont trouvé un autre biais pour faire des rencontres.

L'explosion des sites de rencontres
Avec la démocratisation d'internet, de nombreux célibataires ont choisi une version moderne pour rencontrer l'âme soeur. C'est ainsi qu'ils s'orientent vers les sites de rencontres. Et des sites de ce type, il y en a beaucoup. Il n'est pas forcément évident de faire un choix parmi tous les sites proposés.

Afin de faire gagner un temps précieux aux prétendants et prétendantes à l'amour, certains sites de rencontre ont choisi de détailler la personnalité de chacun afin de ne provoquer que des rencontres avec des personnes compatibles. Par compatibles, nous entendons des personnes qui ont les mêmes aspirations, les mêmes hobbies mais qui appartiennent également à une tranche d'âge correspondante.

Ce concept est particulièrement efficace et l'on se rend compte que les sites de rencontres ont réellement une utilité. Ce sont aujourd'hui plus de 40% des célibataires qui s'inscrivent sur ces sites pour tenter de trouver l'amour. Ils peuvent ainsi discuter en ligne avec les personnes qui leur plaisent et ne se rencontrent que s'ils sentent qu'ils ont des atomes crochus.

Une étude montre qu'aux Etats-Unis, environ 20% des jeunes mariés se sont rencontrés sur internet. Il y a donc fort à parier que les sites de rencontre ont un bel avenir en France et dans le monde

Les promesses de la génétique

Lorsque les chercheurs se sont aperçus du caractère universel des effets de l'ADN, ils ont tout de suite imaginé la chose suivante : puisque l'ADN détermine tout, il suffit, pour modifier le fonctionnement du corps, de modifier l'ADN de la personne.

En particulier, quand on observe un problème de fonctionnement quelque part, donc une maladie, il devrait être possible de le corriger en changeant l'ADN !

Il n'en fallut pas plus pour que le monde entier se mettent à rêver d'un avenir radieux où l'être humain pourrait se contrôler lui-même en changeant son ADN comme on change les pièces d'une voiture. On inventa le terme de « thérapies géniques » comme s'il s'agissait d'une réalité alors qu'aucune thérapie génique n'existait, et on promit à la fois :

• la fin des maladies ;

• le remplacement de n'importe quel organe, que l'on pourrait faire pousser en laboratoire ;

• l'éternelle jeunesse.

Ce n'était qu'une question de temps, et bien sûr de sous accordés à la recherche... et aux chercheurs. « Donnez-nous quelques milliards aujourd'hui, et demain nous vous apporterons le philtre de l'immortalité », promirent-ils, en quelque sorte.

Le virus qui guérit

La chose paraissait d'autant plus à portée de la main que des chercheurs avaient trouvé un moyen remarquable de modifier l'ADN d'un très grand nombre de cellules. En effet, le problème de la thérapie génique n'est pas seulement de déterminer quel bout d'ADN pose problème dans votre code génétique. Encore faut-il être capable d'aller modifier effectivement votre ADN dans des milliards de cellules, dont la plupart se trouvent à l'intérieur de votre corps !

Eh bien la solution fut néanmoins trouvée. La lumineuse idée de ces chercheurs fut d'utiliser un virus.

Les virus sont de petits agents infectieux capables de transférer leur propre matériel génétique dans les cellules humaines. De plus, ils sont capables de se propager très rapidement d'une cellule à l'autre, comme le savent toutes les personnes qui ont été mises à genou, puis au lit, par le virus de la grippe, par exemple.

Les chercheurs réussirent à sélectionner un virus, à éliminer dans son ADN les séquences associées à la maladie qu'il transmettait, et à les remplacer par les séquences du gène thérapeutique (le gène qui guérit). Ainsi, en inoculant le virus à la personne malade, ce virus allait rapidement « infecter » des millions de cellules mais, au lieu de leur inoculer une maladie, il allait leur donner le bon gène qui allait leur permettre de guérir ! La seule précaution à prendre était évidemment que le virus reste dans l'organisme de la personne traitée, et qu'il ne lui prenne pas la mauvaise idée d'aller contaminer des milliers de personnes n'ayant rien demandé. Mais, apparemment, ce danger-là était, lui aussi, maîtrisé par les scientifiques.

Avec de telles promesses, ils n'eurent pas de mal à convaincre les gouvernements et un grand nombre d'investisseurs privés, de leur verser des dizaines de milliards d'euros pour des recherche en thérapies géniques, faisant la fortune d'innombrables créateurs de « start-up » de « biotechnologie » dans la Silicon Valley et de laboratoires universitaires.

Cet article vient de SANTE ET NUTRITION